Virucide, mode d’emploi pour une décontamination efficace

Eliminer le coronavirus avec LE Désinfectant virucide Made in France

Nous vous avons expliqué ce qu’était un virucide, et comment il agissait pour venir à bout du coronavirus notamment. Il ne vous reste donc plus qu’à l’utiliser.
Notre désinfectant virucide est très simple d’utilisation :

1. vous vaporisez,
2. vous le laissez agir et c’est terminé !

Afin d’être certains qu’il ait eu le temps d’agir, laissez-le en contact entre 5 et 15 minutes suivant ce que vous devez traiter (virus, bactéries, champignons ou levures).
Vous pouvez aussi l’utiliser en le vaporisant sur une microfibre ou un papier jetable et vous essuyez la surface à désinfecter (poignée de porte par exemple). Cela évite d’en mettre de partout ou de laisser des traces (porte vitrée).
Enfin, vous pouvez également le vaporiser sur une surface, le laisser agir puis essuyer avec une microfibre pour sécher la surface sans laisser de traces inesthétiques (banque d’un magasin).
L’emploi d’une microfibre ou d’un papier jetable évite également d’utiliser les fameuses « lingettes » qui sont très polluantes (elles ne se recyclent pas) et qui bouchent les canalisations quand elles sont jetées dans les toilettes. Une microfibre se lave (souvent plus de 100 fois) et un papier jetable se recycle. Ainsi, vous protégez l’environnement.

A quelle fréquence doit-on utiliser le désinfectant virucide pour une action optimale ?

Nous ne pouvons vous faire qu’une « réponse de Normand » : ça dépend !
En effet, tout dépend de la répétition de la surface ou de l’objet à traiter à être en contact potentiel avec des micro-organismes pathogènes. Un plan de travail est statistiquement parlant plus contaminable qu’un ustensile utilisé une ou deux fois par jour.
Idéalement : toute surface ou objet doit être désinfecté après avoir été en contact direct ou indirect (microgouttelettes) avec des personnes. Ainsi, un kiné, un médecin, un orthophoniste ou un dentiste aura besoin de désinfecter les zones de son cabinet fréquentés par les patients après chaque visite, un magasin de vêtements devra désinfecter les cabines d’essayage (entre autres) après chaque passage d’un client, un opticien devra désinfecter les montures touchées par les clients....
On voit que la méthode peut être assez contraignante : c’est pour cela que les magasins demandent souvent de ne pas manipuler des articles sans être accompagné d’un employé qui pourra alors « repérer » ce que vous avez touché pour pouvoir les désinfecter par la suite.

Peut-on espacer les utilisations du virucide ?

Chacun de nous possède la solution : les gestes barrières permettent d’éradiquer très fortement la diffusion du virus. Le port du masque par exemple évite toute dispersion par microgouttelettes des éléments pathogènes.
Venki Ramakrishnan, prix Nobel de chimie, a fait un parallèle très simple en expliquant qu’il y a quelques années, « il était normal de conduire sa voiture sans ceintures et en état d’ébriété. Aujourd’hui, ces deux comportements seraient considérés comme antisociaux et le fait de ne pas porter de masque en public devrait être considéré de la même manière. »
 

La diffusion d’un virus dépend avant tout de l’implication de chacun d’entre nous et c’est en cela une bonne nouvelle : les gestes les plus simples sont les plus efficaces !